Commencement du corps, fin de l'océan
de Adonis (auteur), Vénus Khoury-Ghata (traduction)
Le poème est, pour Adonis, le lieu même où la pensée se forme, se déforme et se divise en paraboles. Adonis est non seulement le poète des quatre horizons, du déplacement, du métissage des chants, mais aussi de la mouvance des corps, de la dispersion des atomes, des poussières, des cendres sous le soleil.
Enfin le royaume
de François Cheng
À la suite des poètes chinois des origines, mais aussi d'Omar Khayyâm et d'Emily Dickinson, François Cheng atteste ici du pouvoir singulier du quatrain, ce mode d'expression resserré, pourtant si ouvert aux résonances, aux errances fertiles, voire à une manière salutaire d'envoûtement simple.
Le flot de la poésie continuera de couler
de J-M Gustave Le Clezio, avec le contribution de Dong Qiang
Le chant d'amour à la poésie par un grand écrivain contemporain : "Je suis entré dans la poésie Tang presque à l'improviste, mais non par hasard, en lisant un poème de Li Bai, qui met face à face un homme et une montagne". La poésie Tang est sans doute le moyen de garder ce contact avec le monde réel, elle nous invite au voyage hors de nous-mêmes, nous fait partager les règnes, les durées, les rêves.
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